Mes vaccins sont-ils à jour?
La campagne des pharmacies vaudoises pour le contrôle gratuit des carnets de vaccination touche à sa fin. Les officines aident aussi à inscrire les données en ligne. Un service qui est généralement facturé lorsqu'ils est proposé ailleurs en Suisse romande.
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Bon à Savoir
17.11.2015
Dernière mise à jour:
06.07.2022
Claire Houriet Rime
Du 20 octobre au 20 novembre 2015, les officines vaudoises vérifient gracieusement que les injections soient à jour. Elles aident aussi les clients qui le souhaitent à enregistrer leur carnet de vaccination sous forme électronique. Une solution qui évite de faire de la spéléologie pour le dénicher dans ses classeurs!
En créant un document sur le site de la fondation «mes vaccins», on y a acc...
Du 20 octobre au 20 novembre 2015, les officines vaudoises vérifient gracieusement que les injections soient à jour. Elles aident aussi les clients qui le souhaitent à enregistrer leur carnet de vaccination sous forme électronique. Une solution qui évite de faire de la spéléologie pour le dénicher dans ses classeurs!
En créant un document sur le site de la fondation «mes vaccins», on y a accès en permanence, partout dans le monde. Idem avec l’application myViavac, facturée 1 fr. sur iPhone et Android. Si l’inscription est gratuite, il faut payer une taxe de 10 fr. pour que des étudiants en médecine vérifient ensuite que la couverture est adéquate.
En Suisse romande, plusieurs officines proposent également de comparer les carnets avec les recommandations de l’Office fédéral de la santé publique. Certaines le font gratuitement, d’autres facturent entre 20 fr. et 40 fr. selon le service fourni (simple contrôle ou enregistrement des données).
«Les prestations varient selon les cantons», relève Stéphanie Balliana, responsable de la communication à Pharmasuisse. Ainsi les cantons de Neuchâtel, Fribourg et Berne autorisent-ils désormais les pharmaciens à effectuer eux-mêmes les vaccins. «Les adultes en bonne santé ont ainsi accès à ce service sans devoir prendre rendez-vous chez leur médecin», explique la porte-parole.
Claire Houriet Rime